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Espagne carte
Carte montrant l'Espagne. Espagne carte (le Sud de l'Europe - Europe) à imprimer. Espagne carte (le Sud de l'Europe - Europe) à télécharger. L'Espagne est ouvertement multilingue, et la constitution établit que la nation protégera "tous les Espagnols et les peuples d'Espagne dans l'exercice des droits de l'homme, leurs cultures et traditions, leurs langues et leurs institutions". L'espagnol (español) - officiellement reconnu dans la constitution comme le castillan (castellano) - est la langue officielle de tout le pays, comme le montre la carte d'Espagne, et chaque Espagnol a le droit et le devoir de connaître cette langue. La constitution établit également que "toutes les autres langues espagnoles" - c'est-à-dire toutes les autres langues d'Espagne - seront également officielles dans leurs communautés autonomes respectives, conformément à leurs statuts, à leurs législations régionales organiques, et que "la richesse des modalités linguistiques distinctes de l'Espagne représente un patrimoine qui fera l'objet d'un respect et d'une protection spéciale"
L'Espagne compte un certain nombre de descendants de populations issues d'anciennes colonies (notamment la Guinée équatoriale) et des immigrants de plusieurs pays subsahariens et caribéens se sont récemment installés en Espagne, comme l'indique la carte d'Espagne. L'Espagne compte également un nombre important d'immigrants asiatiques, dont la plupart sont d'origine chinoise, indienne, philippine, moyen-orientale et sud-asiatique. La population latino-américaine est également importante et connaît une croissance rapide. D'autres groupes en croissance sont les Britanniques, 760 000 en 2006, les Allemands et d'autres immigrants du reste de l'Europe. L'arrivée des Gitanos, un peuple rom, a commencé au XVIe siècle ; les estimations de la population gitane espagnole fluctuent autour de 700 000 personnes. Les Mercheros (également Quinquis) sont un groupe minoritaire, anciennement nomade, qui partage une grande partie du mode de vie des Gitanos. Leur origine n'est pas claire.
La Constitution espagnole de 1978, dans son deuxième article, reconnaît les entités historiques ("nationalités", un mot soigneusement choisi afin d'éviter le terme plus politique de "nations") et les régions, dans le contexte de la nation espagnole. Pour certaines personnes, l'identité espagnole consiste davantage en une superposition de différentes identités régionales qu'en une seule identité espagnole, comme le montre la carte d'Espagne. En effet, certaines identités régionales peuvent même entrer en conflit avec l'identité espagnole. Les identités régionales traditionnelles distinctes au sein de l'Espagne comprennent les Basques, les Catalans, les Galiciens et les Castillans, entre autres.
En 2008, l'Espagne a accordé la citoyenneté à 84 170 personnes, principalement à des personnes originaires d'Équateur, de Colombie et du Maroc. Une partie non négligeable des résidents étrangers en Espagne provient également d'autres pays d'Europe occidentale et centrale. Il s'agit principalement de Britanniques, de Français, d'Allemands, de Néerlandais et de Norvégiens. Ils résident principalement sur la côte méditerranéenne et dans les îles Baléares, où beaucoup choisissent de vivre leur retraite ou de faire du télétravail. D'importantes populations descendant de colons et d'immigrants espagnols existent dans d'autres parties du monde, notamment en Amérique latine, comme le montre la carte d'Espagne. À partir de la fin du 15e siècle, un grand nombre de colons ibériques se sont installés dans ce qui est devenu l'Amérique latine et, à l'heure actuelle, la plupart des Latino-Américains blancs (qui représentent environ un tiers de la population de l'Amérique latine) sont d'origine espagnole ou portugaise
L'enquête sur la qualité de vie menée par l'Economist Intelligence Unit a placé l'Espagne dans le top 10 des pays ayant la meilleure qualité de vie au monde en 2005, devant d'autres pays économiquement et technologiquement avancés comme la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la Corée du Sud, comme le mentionne la carte de l'Espagne. Avant l'effondrement du boom immobilier, on a assisté à une augmentation correspondante des niveaux d'endettement personnel, les futurs propriétaires s'efforçant d'atteindre les prix demandés. Le niveau moyen d'endettement des ménages a triplé en moins d'une décennie. Cette situation a exercé une forte pression sur les groupes à revenus faibles et moyens ; en 2005, le ratio médian de l'endettement par rapport au revenu avait atteint 125 %, principalement en raison des prêts hypothécaires onéreux de la période du boom.